« Ce qui s’oublie et ce qui reste » : la mémoire des diasporas africaines
Le musée national de l’histoire de l’immigration propose, jusqu’au 29 août, de revenir sur les souvenirs des diasporas africaines à travers les œuvres multi-formats d’artistes contemporains. « Regarder et comprendre le monde d’un point de vue africain ». C’est le pari de l’exposition Ce qui s’oublie et ce qui reste, à découvrir au Palais de la Porte-Dorée, à Paris. En collaboration avec le Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden de Marrakech, elle explore la diffusion de la mémoire grâce à dix-huit artistes originaires de diasporas de
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